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Un traumatisme cérébral est une lésion qui affecte le fonctionnement du cerveau. Certaines lésions cérébrales peuvent être considérées comme « légères », comme une commotion, et d’autres plus « graves », s’il y a une fracture du crâne ou un choc à la tête qui cause un épanchement sanguin dans le cerveau. Les traumatismes cérébraux sont parfois appelés « lésions cérébrales acquises » ou « traumatismes crâniens ».
La plupart des lésions qui surviennent chaque année sont des traumatismes cérébraux légers ou des commotions cérébrales. Ces traumatismes sont causés par :
Ce mouvement soudain peut faire en sorte que :
Ces changements dans le cerveau entraînent des symptômes qui pourraient affecter la façon dont une personne pense, apprend, se sent, agit et dort.
Les traumatismes cérébraux augmentent aussi le risque de démence.
Ce que vous pouvez faire pour tenter de prévenir un traumatisme cérébral
Voici une série de mesures que vous pouvez prendre pour prévenir les traumatismes cérébraux.
Apprenez-en plus sur la prévention des chutes et des blessures sur le Portail sur le vieillissement optimal de McMaster et sur le site Web Parachute.
Apprenez-en plus sur les lésions cérébrales auprès de l’Ontario Brain Injury Association.
Des études ont démontré qu’en cas de dépression, le risque de démence est presque doublé. Cependant, il s’agit d’un facteur de risque un peu complexe. La dépression pourrait entraîner un risque de démence. Cependant, plus tard dans la vie, la démence pourrait provoquer une dépression.
Que pouvez-vous faire à propos de la dépression?
Un traitement pourrait permettre de réduire les risques de déclin cognitif. Il existe des traitements médicamenteux et non médicamenteux contre la dépression.
Il existe diverses affections qui pourraient réduire la quantité d’oxygène qui se rend à votre cerveau, pouvant ainsi affecter votre mémoire, votre pensée et votre fonction cérébrale globale. Ces affections comprennent notamment :
Ce que vous pouvez faire à ce sujet
Si vous souffrez de l’une de ces affections, collaborez avec votre équipe de soins de santé pour qu’elles soient prises en charge le plus efficacement possible afin de maximiser l’apport d’oxygène à votre cerveau.
Les effets de la pollution de l’air et de la fumée secondaire sur le cerveau constituent un nouveau domaine d’intérêt et un facteur de risque relativement nouveau. Il est possible que la pollution de l’air ait les mêmes répercussions sur le cerveau que le tabagisme, affectant les vaisseaux sanguins et ayant possiblement d’autres effets toxiques sur le cerveau.
Ce que vous pouvez faire à propos des polluants atmosphériques
Dans la mesure du possible, réduisez l’exposition à la pollution atmosphérique et à la fumée secondaire afin de réduire vos risques de démence. Cette réduction aura aussi des effets positifs sur votre santé pulmonaire et d’autres résultats cliniques.
Plusieurs médicaments peuvent avoir des effets indésirables sur la mémoire et la fonction cognitive. Les médicaments comme les benzodiazépines (largement utilisées pour traiter l’anxiété ou l’insomnie), les médicaments commençant par la lettre « Z » ou les somnifères comme le zolpidem (Ambien) et la zopiclone (Imovane), certains antidépresseurs et de nombreux antidouleurs comme les opioïdes (aussi appelés narcotiques) peuvent entraîner une importante déficience cognitive.
Attention aux médicaments qui ont des effets secondaires anticholinergiques comme le Benadryl, le Gravol, les antidépresseurs plus anciens comme l’amitriptyline (Elavil) et certains médicaments pour la vessie comme l’oxybutynine (Ditropan) et la toltérodine (Detrol).
Un grand nombre de ces médicaments peuvent également avoir des effets indésirables sur la mobilité et augmenter le risque de chutes.
Type de médicament | Exemple |
Benzodiazépines | Lorazépam (Ativan), alprazolam (Xanax) |
Somnifères | Zolpidem (Ambien), zopiclone (Imovane) |
Opioïdes | Morphine, hydromorphone (Dilaudid) |
Médicaments anticholinergiques | Benadryl, Gravol, amitriptyline (Elavil), oxybutynin (Ditropan) |
Ce que vous pouvez faire à propos des effets indésirables des médicaments
Il est important de passer régulièrement en revue vos médicaments avec votre équipe de soins de santé afin de réduire le risque d’effets secondaires graves. De nombreuses pharmacies offrent des services, comme le programme MedsCheck de l’Ontario pour les personnes qui prennent au moins trois médicaments, qui peuvent vous aider à examiner vos médicaments.
Discutez avec votre médecin pour savoir si une déprescription lente et sécuritaire de certains médicaments pourrait vous convenir. La déprescription est le processus planifié et supervisé de réduction de la dose ou d’arrêt progressif d’un médicament qui pourrait poser des problèmes ou ne plus être bénéfique. Vous pouvez en apprendre plus à ce sujet sur le site Web deprescribing.org.
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« Cette étude m’a vraiment ouvert les yeux; elle m’a instruit et informé sur des concepts que je n’associais pas auparavant au risque de démence. » — Participant à l’étude âgé de 25 à 34 ans.
« Instructif, pas de surcharge d’information. Cette étude m’a aidé à réfléchir à mes propres actions et m’a permis de parler à mes parents plus âgés pour les encourager à être plus proactifs quant à leur santé. » — Participant à l’étude âgé de 35 à 44 ans.
« C’est un sujet d’actualité; je regarde autour de moi et je vois des amis et des membres de ma famille composer avec les effets de la démence. » — Participant à l’étude âgé de 65 à 74 ans.
« Chaque sujet était bien ciblé. La terminologie médicale était facile à comprendre et très instructive. » — Participant à l’étude âgé de 65 à 74 ans.
Neuropsychiatre, Professeur; Faculté des sciences de la santé, Université McMaster
Qui a rédigé et modifié cette page?
Cette page a été préparée par l’équipe de la Division of e-Learning Innovation (Division de l’innovation en apprentissage en ligne) et par le Dr Anthony J. Levinson, M.D., FRCPC (Psychiatrie). Le Dr Levinson est psychiatre et professeur au département de psychiatrie et des neurosciences du comportement de la Faculté des sciences de la santé de l’Université McMaster. Il est directeur de la Division de l’innovation en apprentissage en ligne, ainsi que président de la chaire de recherche en sciences de la santé John Evans à l’Université McMaster. Il exerce la psychiatrie de consultation-liaison, en se concentrant plus particulièrement sur la démence et la neuropsychiatrie. Il a aussi élaboré conjointement la ressource iGeriCare.ca des partenaires des soins aux personnes atteintes de démence et est l’un des coresponsables du Portail sur le vieillissement optimal de McMaster. Lui et son équipe se passionnent pour l’élaboration de contenu numérique de grande qualité pour aider les gens à mieux comprendre les questions de santé. Soit dit en passant, aucun contenu généré par ordinateur n’a été utilisé dans cette page. Pour être plus précis, un vrai humain (moi) a écrit et modifié cette page sans l’aide d’un système d’intelligence artificielle générateur comme ChatGPT, celui de Bing ou autre.
Y a-t-il des choses importantes ou des conflits d’intérêts à déclarer?
Le Dr Levinson reçoit du financement de l’Université McMaster dans le cadre de sa chaire de recherche. Il a également reçu plusieurs subventions pour ses travaux de la part d’organismes subventionnaires sans but lucratif. Il n’a aucun conflit d’intérêts en ce qui concerne l’industrie pharmaceutique et n’a pas utilisé de fonds provenant de l’industrie pour l’élaboration de ce site Web.
Quand le contenu de cette page a-t-il été passé en revue pour la dernière fois?
Le 22 août 2023.
Quelles références et données probantes ont été utilisées pour créer ce contenu?
Qui l’a financé?
L’élaboration initiale d’une partie de ce contenu a été financée par le Centre d’innovation canadien sur la santé du cerveau et le vieillissement, parrainé par Baycrest. Le financement subséquent a été assuré avec le soutien du Portail sur le vieillissement optimal de McMaster, de l’Initiative Labarge sur le vieillissement optimal, de la Faculté des sciences de la santé et du McMaster Institute for Research on Aging (MIRA) de l’Université McMaster et de l’Agence de la santé publique du Canada. Il n’y a aucun conflit d’intérêts à déclarer. Ce contenu n’a reçu aucun financement de l’industrie.